mardi 8 janvier 2013

Rp - Femmes, langues de vipères.

De voyage dans une cité située à la frontière du Nord-Ouest, nous avons logé à l'auberge dont les chambres sont situées juste au-dessus de la taverne où bons nombres de libres, hommes et femmes, viennent discuter... Voici ce que j'ai entendu en posant l'oreille contre un petit trou du plancher...

[F] : A trop vouloir se conduire en homme, pour une femme, ça peut la mener droit au collier...

[M] éclate de rire

[U] : Je vois, tu es une femme qui préfère la politique à la famille ! *rit* Oh bien pourquoi pas, si ton compagnon le veut aussi !

[M] : Je défie celui qui osera me passer un collier autour du cou. Je ne suis pas femme à me laisser asservir. Et si je dois périr, celui qui aura osé me passer le collier suivra la même route que moi. Peu m'importe de ce qui pourra arriver et beaucoup le savent et me connaissent.

[U] se demande où la femme cache son membre phallique mais sait très bien que c'est dans sa tête..."Tu es très directive mais si tu as échappé au collier en menant ta vie comme tu la racontes... Es-tu sûre de ne pas être tombée sur des hommes faibles ?"

[Vanille] entend parler de collier et de soumission... elle lancera un regard vers cet homme torvi qui est son Maître... tout occupé à ses lectures... elle sourit et reposera l'oreille sur le sol. Juste là où il y a un petit courant d'air.

[M] : J'en doute même, votre cher capitaine m'a menacé de le faire. Je l'ai averti de ce qu'il risquerait d'arriver si il osait tenter ce geste malheureux. Ah non, je suis d'accord. Je ne suis pas genre de femme à trembler devant un homme. Sinon, on ne m'aurait jamais placé Tatrix.

[F] commence vraiment à se demander si c'est une femme qui est assise avec [U] et elle soupire légèrement.

[U] secoue la tête, n'en croyant pas un mot. Et connaissant le capitaine, se dit qu'il a plutôt laissé tomber l'affaire pour fouetter d'autres sleens. Mais quand même, elle reste étonnée du langage et surtout du cheminement du discours de la femme.

[M] : Mais je vois à votre mine défaite que cela vous choque.

[U] : Pas choquée à proprement dire, mais ça me laisse pantoise !

[M] : se demande où elle est tombée. Si les femmes libres ici ne seraient pas inférieures aux kajirae. Elle reste stupéfaite par leur réaction. "Et bien dames, si être respectée est de faire profil bas devant les hommes par peur du collier, en effet, nous n'avons pas eu la même destinée. Mais peut-être que j'ai encore un dialecte de dirigante qui, comme vous dites, vous laisse pantoise *se lève* sur ce mes dames, la discussion fût agréable mais je vais reprendre la route d'[E] (cité voisine). 

[U] pense sans méchanceté que la femme ignore où se situe la véritable force d'une femme libre et qu'elle a échappé, par miracle, au collier car elle parle comme certaines panthères. Pas toutes, mais certaines persuadées de détenir la vérité sur leur sort et celui de toutes les femmes. Pour ma part se dit-elle, je pense que c'est simpliste et bien plus complexe..."Je voulais te dire, il y a trois mains j'étais l'administratice de [J] (cité disparue). Autant dire que c'est la même chose q'une Tatrix et à ce titre, je me souviens même t'avoir reçue"

[M] : les regarde dépitée, se demandant si c'est des libres ou des esclaves cachées aux hommes de cette cité. Enfin, peu importe, se dit-t-elle... étant habituée à diriger des hommes, elle n'a sûrement pas la même vision que ces femmes. Elle ne les jugera pas pour autant. "Si on pouvait m'ouvrir la porte, ça serait gentil."

[U] : Demande donc à une esclave dame.

[Vanille] se déplace sur le sol, cherchant un petit trou plus large afin d'y jeter un oeil... elle sourit, réussissant à voir quelques silouhettes.

[M] : Laissez, je me débrouillerai. Au pire, je forcerai les portes.

[U] : Comme tu sais te débrouiller seule, ne te gêne pas.

[M] quitte la taverne

[F] : Non mais pour qui ou quoi elle se prend ? Elle.

[U] : Je pense que cette femme n'a pas l'étoffe d'une Tatrix, mais d'une imbécile pour le dire poliment... *soupire et songe qu'il y a des colliers qui se perdent*

[F] : Oui, et encore, tu es bien gentille! *dit elle en souriant* A un moment, j'ai cru avoir un homme assis près de moi.

[U] : Je suis quand même sidérée que des hommes se fassent commander par cette femme... Son discour est assez creux, je trouve. Et que se passe-t-il pour que les hommes lui laissent le pouvoir ?"

[F] : Ca doit être encore une de ces manipulatrices... mais bon, toute Tatrix qu'elle a été, elle est toujours une femme qui risque autant le collier que nous. Par exemple... son compagnon doit être un faible pour la laisser agir comme ça.

[U]: Je crois bien oui... mais si ce sont les nouveaux habitants de [E] (cité voisine) arrivés hier... [Y] m'en a parlé et elle avait pourtant l'air contente. Son compagnon est [I], l'ex compagnon d'[A], la femme qui dirige les [LSP], encore une qui a le phallus. *se marre*
[04:46]  Flikflak Resident rit en l'ecoutant

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